Le plus grand service que Martine Ouellet pourrait rendre au Bloc québécois, au Parti québécois et à la cause indépendantiste serait de quitter la vie politique sans tambour ni trompette, en se faisant oublier le plus vite possible. Ses bourdes et son entêtement l’ont conduite à un échec retentissant, qui met en péril l’existence même du BQ et qui torpille les efforts de remontée du PQ.
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