Je ne croyais pas revenir si rapidement sur l’aide mal reçue, après ma chronique publiée hier dans le Journal, mais l’étude rendue publique par l’IRIS sur les partenariats public-privé reliant le gouvernement et la Fondation Chagnon m’en fournit une nouvelle occasion. L’étude qui ne m’apparaît pas vraiment en être une, nous fait surtout voir que même les intentions les plus nobles peuvent attirer les foudres des détracteurs frustrés de ne pas y retrouver leur compte.
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