Conséquemment à l’élection de la CAQ, l’actualité québécoise révèle l’empressement d’intellectuels, de lobbyistes et d’ex-hommes politiques à définir le nationalisme. On ne se surprendra pas que la conception des uns et des autres se fonde sur leur allégeance fédéraliste ou souverainiste pour tenter d’influencer le nouveau gouvernement. Quel que soit le point de vue, le nationalisme affiché par la CAQ n’aura de sens que dans la mesure où le Québec disposera de plus d’autonomie !
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