Les attendrissements sur le départ de Pierre Karl Péladeau auront difficilement duré au-delà du coucher du soleil de cette journée fertile en émotion. Dès ce matin, les spéculations allaient à fond de train dans le camp péquiste et chez les observateurs de la scène politique pour assurer la succession à court et moyen terme. Entre ingratitude et pragmatisme, les institutions survivent en laissant bien peu de temps aux cendres de se refroidir.
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